Cette journée d’étude propose d’effectuer un retour sur les méthodologies employées dans les analyses des processus de (dé)subjectivation. Comment analyser la (dé)subjectivation tout en évitant les biais de l’essentialisation ? Comment, en tant que chercheur.euse, déterminer ce qui relève de l’assujettissement ou de la résistance du sujet ? Dans quelle mesure l’analyse sociologique reflète-t-elle la subjectivité du / de la chercheur.euse ? Ces quelques interrogations pointent l’imbrication particulière des enjeux d’ordre méthodologiques et théoriques dans l’étude de la (dé)subjectivation et la nécessité de les examiner conjointement pour mieux appréhender la pluralité et la complexité de ces processus.
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