Les communications discutées lors de la première journée « Les frontières au prisme du genre », en mars 2012, ont permis de décrire comment les activités sociales travaillent des partages en partie instables et marqués par des zones de flous. Afin de poursuivre notre réflexion, il s’agira cette fois de faire travailler la métaphore de la frontière à partir du registre spatial sur lequel elle s’appuie : comment les frontières sociales contribuent-elles à découper ou unifier des territoires ? Comment les partages géographiques ou leurs représentations alimentent-ils les frontières sociales ? Cette journée d'étude s'inscrit dans le cadre de l'anniversaire des dix ans de l'association EFiGiES.
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